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Can Tho, mercredi 21 mars

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Le Vietnam d'Alain et Christine en 2012

Carnet de route

Can Tho - Mardi 20 mars

 

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4 heures 30. Nous sommes réveillés par un coq. Et pourtant nous sommes en ville.

Départ à 5 heures 30 pour notre promenade dans le delta profond. Une barque à moteur rien que pour nous deux, conduite par un Vietnamien (il ne connaît que quelques mots d’anglais).

Nous remontons la rivière de Can Tho, vers l'est donc.

Tout en manœuvrant son bateau, notre guide confectionne pour Christine des fleurs à l’aide de feuilles de palmier.

7 heures. Il commence à faire très chaud. C’est l’heure du lavage du linge, sur les berges, sur les bateaux. Certainement parce l’eau est encore haute. En effet, tributaire de la marée, le niveau de la rivière aura baissé de près d'un mètre en début d'après-midi.

Que de déchets dans la mer ! Mais rappelons-nous que c’est la même chose sur terre.

Visite des marchés flottant de Cái Răng et de Phong Điến [voir l'album photo].

Vers 9 heures, halte dans une fabrique de nouilles. Puis à dix heures, arrêt dans un restaurant ; nous offrons le repas au batelier mais il préfère manger à part (200 000 VND pour les deux).

Exubérance de la végétation : toutes sortes d'arbres fruitiers, des ananas et des sàu riêng (durians) notamment. Partout, des petits canaux et des bassins où sont élevés des poissons. Le niveau de l’eau a baissé, ce qui rend la navigation très difficile.

11 heures 30 retour. Le soleil est au zénith, tel qu’on ne le voit jamais chez nous. Sa lumière est tellement forte que, même avec les lunettes de soleil, on en est ébloui. 11 heures 50, un karaoké sur la berge.

De retour à l’hôtel vers 12 heures.

Sieste et lecture jusqu’à 17 heures. Cette chaleur nous rend amorphes.

17 heures 30, nous allons dîner (nous nous adaptons aux horaires des autochtones). La brume s’est abattue sur la ville et le fleuve. La chaleur est étouffante

Après manger, nous faisons le marché aux "fringues". Il semble que ce marché n’est pas orienté « touristes ». Car les prix sont affichés et raisonnables ; aussi parce que certains commerçants nous ignorent carrément. Toutefois, par contraste, chez Thu Tuy, où nous achetons quelques vêtements d’enfants, les vendeuses se montrent très aimables.

 

Post-scriptum : À Can Tho, il semble que les touristes ne viennent que pour embarquer sur le Mékong. En effet, en dehors du boulevard qui longe le fleuve, on ne voit aucun occidental  !